Je vous poste quelques photos de mon premier vêtement "do it yourself", une mini-robe noire en coton. Je l'ai fait à partir d'un patron Burda, mais j'avoue que j'ai pris des libertés, je l'ai (beaucoup) raccourcie.
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Bonjour à toutes ! J’inaugure cette nouvelle chronique. Régulièrement, je partagerai avec vous les petits secrets de mon frigo et vous présenterai mes astuces santé.
1) UN JUS DE CITRON
Vous
pouvez voir sur la photo mes deux « gestes
santé » du matin : le jus de citron et les baies de Goji. Les
deux sont issus de l’agriculture biologique. Avant même de boire la moindre
gorgée d’eau, à mon lever, je prends un verre de jus de citron (équivalent du
jus d’un citron dilué dans de l’eau, selon préférence). Il faut bien
s’accrocher, le goût réveille vivement. De quoi faire le plein de vitamine C
cet hiver. J’ai eu une sale angine il y a quelques semaines, avec des maux de
gorge de la mort. Je n’avais pas de spray pour la gorge à disposition. Mon jus
de citron (auquel j’ai rajouté une cuillère de miel) m’a fait beaucoup de
bien ! Évidemment, je le déconseille à celles et ceux qui souffrent
d’aigreur.
2) DES BAIES DE GOJI
Deuxième
étape, un peu plus difficile du point de vue gustatif… les baies de Goji. J’en
prends chaque matin une cuiller à soupe. Comme je les achète dans mon magasin
bio, elles me coûtent assez cher, généralement une dizaine d’euros pour moins
d’un demi-kilo (je vous donnerai le prix exact la prochaine fois), mais elles
me durent environ un mois. Ça dépend sûrement des goûts, mais moi, elles me
répugnent. Je n’aime pas du tout la texture et le goût.
Si vous ne connaissez pas encore ces baies, vous pouvez live cet article. Il est assez schématique, mais résume l’essentiel à savoir. Attention par contre de bien les choisir biologiques. De nombreux produits mis sur le marché à bas prix sont bourrés de résidus de pesticides et sont intraçables. Censés assainir le corps, ce serait dommage qu’ils le détériore !
Si vous ne connaissez pas encore ces baies, vous pouvez live cet article. Il est assez schématique, mais résume l’essentiel à savoir. Attention par contre de bien les choisir biologiques. De nombreux produits mis sur le marché à bas prix sont bourrés de résidus de pesticides et sont intraçables. Censés assainir le corps, ce serait dommage qu’ils le détériore !
3) DE LA SPIRULINE
Troisième
astuce santé de la journée : la Spiruline. Je vous prévient à
l’avance : le goût est à la limite du soutenable (à moins que vous ne
raffooooliez des algues). J’achète la spiruline en poudre dans mon magasin
Naturalia, pour environ 17 euros, de mémoire. Si vous trouvez des pilules
équivalentes, 100% spiruline, je vous conseille de les prendre à la place de la
poudre. Juste pour le goût. Au début, pleine de fougue et de bonne volonté, je
diluais la poudre dans un verre d’eau. OH MON DIEU. Même mes cures d’Aloe Vera
pur à boire ne m’ont pas donné autant envie de m’arracher le palais. Oubliez-donc
le verre d’eau. Ce que je fais, moi grande consommatrice de purée, c’est que je
verse une petite cuiller de spiruline dessus, et je mange les deux ensemble. L’ajouter
à son repas salé, c’est ce qu’il y a de moins pire. Mais attention, ne la
mélangez pas à TOUT votre repas. Vous risqueriez de vous dégouter de cette
nourriture.
Bon.
Du point de vue santé, il paraît que c’est super. J’en prends surtout pour mes
carences en fer, que je comble difficilement par l’alimentation. Pour être
honnête, je suis en phase d’expérimentation (ça fait quelques semaines
seulement que j’en prends tous les jours). Donc je ne peux pas vous dire qu’il
y a une différence radicale. Seulement, avoir un corps sain et une bonne santé,
ça ne se sent pas forcément. Surtout avec le changement de temps, l’entrée dans
l’automne, la rentrée, le stress… À celles qui veulent en savoir plus sur les
bienfaits de la spiruline, je conseille d’aller lire cette page synthétique.
J’espère
que cet article vous aura été utile !
J'ai craqué. Mes (petites) économies n'auront pas tenu longtemps.
John Masters Organics a eu raison de moi.
J'ai fait le tour de Paris à la recherche d'un magasin qui vendrait les produits John Masters Organics pour la beauté du visage. Sur ce plan, je suis repartie bredouille. Il m'est IMPOSSIBLE de trouver ces produits autre part que sur internet.
Voyant que seuls les gammes capillaires étaient commercialisées, je me suis enfin laissée tenter. J'en ai trouvé chez Colette et au Bon Marché. Je vous conseille vivement d'aller faire un tour au Bon Marché, ils font une réduction de 20% pour deux produits JMO achetés. Du coup, niveau prix, ça revient même moins cher que sur internet.
J'ai donc craqué, d'abord, pour un Shampoing à l'huile d'onagre, de quoi rendre un peu d'éclat à mes cheveux très secs (j'espère) et pour un après-shampoing intensif à la lavande et à l'avocat. J'en ai eu au total pour 42 euros réduction comprise (53€ sans réduction). Une somme, pour un shampoing, mais ce n'est pas si cher pour du JMO.
Je vais les essayer dans quelques jours et je vous donnerai mon avis. En tout cas, à l'odeur, je suis déjà sous le charme. Je peux enfin me séparer de mes affreux soins l'Oréal ultra-siliconés. Une libération.
Ça
peut paraître bête. Pourtant, ça demande des recherches et de la réflexion. Bien choisir ses pulls basiques, c’est presque un art.
QUEL PRIX ?
La
tentation du pull à petit prix est forte. D’autant que les enseignes low-cost
de type H&M ont souvent des gammes hyper variées, qu’il s’agisse des coupes
ou des couleurs. Du coup, le calcul est rapide : on se dit qu’il vaut
mieux avoir un grand nombre de pulls basiques. Comme ça, on les porte moins, on
les lave moins, on les abîme moins, et on ne donne pas l’impression de porter
chaque jour la même chose. Donc on se retrouve avec la penderie remplie de
pulls H&M à moins de 20€ chacun, avec la certitude qu’on aura, pour moins
de cent euros, plein de tenues différentes.
Mais
ce calcul est mauvais. Il répond à l’éternel dilemme : « dois-je acheter une pièce chère ou plusieurs
pièces low-cost ? ». Et en terme de basiques, il faut éliminer la
deuxième réponse. Notre garde robe doit impérativement avoir en moyenne sept pièces simples de qualité irréprochable qui forment un socle d’élégance. Il
faut donc avoir au minimum une robe, une jupe, un ou deux t-shirt, un ou deux
pulls, une chemise, un pantalon et une paire de ballerines, tous très simples
et de grande qualité. Ça demande un investissement non négligeable. Si vous
partez de zéro, comptez quelques mois d’économies (jusqu’à 700€ à mobiliser).
Soyez-en sûres, le résultat sera imparable : si le basique est beau, la
tenue sera classe. Avec un beau Levis vintage, retouché par une couturière pour
l’adapter à votre silhouette, vous serez sûre d’être raffinée.
QUELLE MARQUE ?
Cette
règle s’applique aux pulls basiques. Une fois pour toutes, fuyez les enseignes à
bas coût. Ou choisissez-les bien. Celles que je ne vous recommande pas
en matière de pulls – pour les avoir écumées et pour avoir été déçue à presque
tous les coups – ce sont surtout H&M, Uniqlo, Zara ou Etam (évidemment,
j’exclue d’emblée les marques jeunesse comme Pimkie et Jennyfer). Les pulls que
l’on trouve chez ces marques, ainsi que chez leurs autres équivalents, sont
tous les mêmes. Lorsqu’on les porte, la tenue devient outrageusement commune et
cheap. Leur tissu, leur coupe et même leurs couleurs sont grossiers.
Il
y a une marque, dont je suis plutôt cliente, avec laquelle je suis mi-figue
mi-raisin. C’est American Apparel. Leurs pièces sont à part : elles sont
de qualité assez médiocre et le prix est très élevé, paradoxalement. Je
déconseille d’y aller s’agissant des hauts (t-shirts et pulls) car la qualité
ne vaut pas le prix. Il vaut mieux garder cet argent et l’investir dans un pull
d’une autre marque. En revanche, concernant les autres pièces (robes,
pantalons, ceintures), il y en a qui sont vraiment pas mal.
Il
y a une marque pas si chère que j’aime beaucoup pour mes pulls – et je raffole
de leurs robes-pulls cette année, c’est Benetton. Comptez en moyenne entre
trente et quarante euros pour un pull en laine. C’est un bon compromis entre
les marques un peu chères (Comptoir des Cotonniers, Sandro/Maje, American
Vintage) et le low-cost. C’est une marque qui reste assez élégante en terme de
basiques. Par contre, ne vous aventurez pas dans leurs rayons plus
« fantaisie », qui sont souvent assez vulgaires.
Concernant
maintenant les marques qui coûtent cher, (plus de 100 euros le pull), elles
restent des valeurs sûres, forcément. Les tissus et les coupes sont soignés, et
ça se voit. Mais attention, il faut bien choisir votre pull et s’assurer qu’il
reste « basique » donc passe-partout. Car l’un des grands défauts de
Maje et Sandro, c’est que ces marques suivent beaucoup la tendance et qu’elle
sortent souvent des vêtements « stylés » et simples au premier coup
d’œil. Mais ils se démodent très vite. Et vu leur prix, c’est dommage de le
descendre à la cave au bout d’un an.
QUEL LOOK ?
Niveau
matière, je recommande surtout la laine et le cachemire. Mais ça se joue
surtout à l’appréciation visuelle et tactile. Donc d’autres matières peuvent
aussi être très jolies. Le plus important, c’est surtout la coupe et la
couleur. Niveau couleur j’en recommande deux qui sont essentielles : un
noir (ou bleu marine foncé selon ce qui vous va le mieux) et un blanc cassé.
Fuyez le blanc brut qui vieillit assez mal et qui est moins élégant qu’un blanc
cassé plus subtil.
Vous
pouvez également choisir une troisième couleur, qui est plus relative. C’est votre
couleur, celle qui vous va le mieux, selon votre teint, votre couleur de peau
et de cheveux. Là, ça dépend vraiment de votre appréciation. Prenez-là en ton
pastel de préférence, ce qui prend moins parti. Me concernant, je raffole du rose
clair pastel.
Enfin,
concernant la coupe, elle dépend essentiellement de votre morphologie. Ce que
je vous recommande, c’est un col rond et un col roulé. Je trouve que les cols
en V sont assez désuets, trop connotés « bourgeois » et finalement assez peu féminin, comparé à un joli
col rond.
Je vous
conseille aussi d’acheter un pull en grosse maille. C’est plutôt « tendance », mais ça reste
universel. Une fois de plus, ne tombez pas dans le piège American Apparel. Leurs
mailles sont attirantes et assez mignonnes, mais leur qualité est trop
médiocre. Pour avoir été déçue à de nombreuses reprises, je ne veux plus
financer cette arnaque. Le pull en maille rose que je porte sur la photo est
justement un American Apparel. Il m’a beaucoup plu quand je l’ai acheté, mais la
maille ne résiste pas aux accrocs et s’est abîmée très vite. En revanche j’ai
vu de très jolis pulls en maille chez American Vintage. Ils coûtent 115€, donc assez cher, mais il y a six
couleurs et de très jolies finitions. C’est un col V, oui, mais il est vraiment
très féminin.
Pour
finir, le conseil qui est le plus important à mes yeux : fuyez ce qui est « mode ». C’est un piège qui vous
ruinera. La force d’un basique, c’est sa simplicité, son universalité et son
raffinement. Évitez donc les coupes, couleurs ou matières osées, qui vous
plaisent parce que vous les avez vues sur d’autres personnes ou sur des « it-girls »
qui ont les moyens de ces extravagances. Allez au plus simple, au plus
efficace. Ce sont les valeurs sûres qui vous sublimeront.
À
bientôt !
Elle est LA top, LE visage que l’on retient. Et quand je la
regarde, elle a ce petit quelque chose qui me gêne. Qui me gêne, mais
positivement. Elle a ce truc qui me fait cogiter. Cara Delevingne n’est pas une « it-girl » comme une autre. Et elle n’a rien à voir avec Kate
Moss. Pour une raison très simple.
Ce qui m’obsède avec elle, c’est que je n’arrive pas à la
voir comme une femme affirmée. Je la vois comme une adolescente androgyne. Elle
l’est d’une manière purement sienne : des tops androgynes, il y en a à la
pelle. Mais une fois qu’on leur met une panoplie féminine sur les épaules, leur
androgynie disparaît derrière le vêtement. Regardez, parfois, Agyness Deyn a même
un sex-appeal Sharon-Stonesque.
Pas Cara Delevingne. Elle, je n’arrive pas à la voir comme
une femme. Lorsqu’elle est grimée en femme fatale, je ne vois pas une femme
fatale. Je vois toujours Cara Delevingne. Elle a cette insolence enfantine, qui
fait tout son charisme. Elle a une personnalité trop forte pour être déguisée.
C’est ce qui me gêne, lorsque je la vois porter les attributs de la femme
affirmée. Je n’y crois pas, ça jure. Son regard est trop fougueux pour
s’accorder à ces parures.
C’est ce qui la différencie radicalement de Kate Moss. Kate
Moss est une femme. Elle, elle est une éternelle adolescente.
"Trouver de belles bottes pour l'hiver". C'est ce que j'ai écris sur un post-it il y a plus de deux ans. Depuis, il n'a jamais quitté la porte de mon frigo. Enfin. Jusqu'à aujourd'hui.
Ça fait plus de deux ans que je cherche la paire de ma vie. Et en attendant, j'ai passé chaque hiver avec des bottes au rabais, chinées dans les fripes. J'ai désespéré… jusqu'à aujourd'hui. Car trouver de vraies bottes, élégantes, qui subliment les jambes, et qui ont de l'allure, c'est un gros défi.
Jamais je n'ai trouvé la paire qui soit suffisamment légère et féminine pour bien me mettre en valeur. Enfin si. J'ai découvert ces orgasmiques cavalières Hermès-de-la-mort-qui-tue. Qui coûtent 1770€. Un salaire. Bref, j'oublie.
Je désespérais… jusqu'à ce jour où je suis passée devant ce magasin rue de Charonne, "La botte Gardian".
Pour 335€, soit cinq fois moins que les bottes Hermès, on y trouve les plus belles cavalières de Paris. Rien à voir avec les Ralph Lauren qui collent au talon d'Achille et finissent en entonnoir en haut du mollet. Celles-là, elles sont élégantes, intemporelles et ultra-résistantes. Certes, elles restent chères (surtout pour moi, étudiante sans-le-sou), mais elles valent le coup de mettre un peu de côté.
Quant à moi, me voilà apaisée. Je peux enfin enlever ce post-it hideux qui m'angoissait.
Coordonnées:
La Botte Gardiane
25, rue de Charonne
75011 Paris
09 51 11 05 15
Malgré la douceur de septembre, la rentrée ne m’a pas
épargnée. La faute au manque de sommeil, le stress, la fatigue. Bon en réalité,
c’est de ma faute… mon budget vacances a beaucoup rogné mon budget beauté. Au
point de me laver la peau au savon et de me l’hydrater à l’huile d’olive
(SACRILÈGE). Résultat : une peau abîmée et fatiguée, des rougeurs, des
zones grasses. Ma folie dépensière étant passée, j’ai enfin de quoi reprendre
mes bonnes habitudes. L’occasion idéale pour vous présenter mon rituel « beauté de la peau ».
Je vous le conseille vivement si vous souhaitez avoir une
jolie peau bien hydratée. Il convient surtout aux peaux mixtes ou sèches. L’intérêt,
c’est que ce sont majoritairement des produits naturels, voire issus de l’agriculture
biologique. Une chose est sûre : il marche. À l’adolescence, j’avais la
peau ravagée par des points noirs, étouffée par le fond de teint, et c’est
grâce à ces produits que j’ai une peau en pleine santé.
Pour commencer, ce que je fais chaque matin et chaque soir. D’abord,
je me nettoie le visage avec la lotion Bioderma Sébium H2O pour peaux mixtes/grasses (la bouteille verte). Elle
limite la production de sebum et laisse la peau bien lisse, nettoyée et
fraîche. C’est elle qui m’a libérée des assauts de points noirs. Pour dire la
vérité, rien que la vérité, ma dermatologue m’avait conseillé la lotion pour
peaux sèches (bouteille rouge) qui avait ravagé ma peau, à l’époque. Elle était
grasse, brillante, et les points noirs gagnaient du terrain. J’ai donc changé
de gamme. Ça fait maintenant près de cinq ans que j’utilise la lotion pour
peaux mixtes/grasses, et ma peau n’a jamais été aussi belle.
Prix indicatif: 11€ la bouteille de 500mL
Après, pour hydrater ma peau, je la joue naturel. J’utilise
le Gel d’Aloe Vera Pur Aloe,
« certifié bio et équitable »
que j’achète dans un magasin bio, le plus souvent chez Naturalia. J’ai tendance
à fuir les produits dont les formules sont très fournies. Là, c’est très
simple : il y a 98% d’Aloe Vera. Et 98,20% des ingrédients proviennent de
l’agriculture biologique. Ce produit, c’est ma drogue. Je l’utilise depuis
trois ans, et je ne peux plus m’en passer. Je vous recommande vraiment de
remplacer vos crèmes hydratantes chères et chimiques par lui. Ma peau est très
fraîche, a un superbe grain.
Par contre il faut savoir l’utiliser. Quand le produit
pénètre la peau, il donne l’impression qu’elle est liftée. Mais du coup, quand
on bouge une partie du visage, le produit craquelle et laisse un léger résidu
blanc. Pour que ça n’arrive pas j’étale d’abord l’équivalent d’une noisette sur
le visage et sur le cou. Une fois que le gel a en partie pénétré, je frotte
beaucoup le visage jusqu’à ce que je sente qu’il n’en reste plus à la surface. On
sent que le produit a totalement pénétré la peau lorsqu’il n’y a plus de
sensation de tiraillement.
Prix indicatif: 11,40€ le spray de 125mL
J’utilise ces deux produits en permanence, chaque soir au
minimum. Mais la peau est bien plus belle et
plus réveillée si on l’utilise
également le matin.
Chaque semaine, généralement le dimanche, je me fais un
gommage avec le Gommage surfin physiologiquede La Roche-Posay. Je l’utilise parce qu’il est sans savon, sans
alcool, sans colorant et sans paraben. Ses grains sont fins, donc ils n’agressent
pas ma peau sensible (à moins, bien sûr, de frotter comme une forcenée).
Prix indicatif: 12-13€ en pharmacie
Une fois tous les deux mois, je fais une cure dépurative de
la peau à base d’ampoules de bardane
et de pensée sauvage, certifiées Agriculture Biologique, de la marque Super Diet. Dans chaque ampoule,
500mg de bardane et 500mg de pensée sauvage. Je les achète chez Naturalia. La cure dure 20 jours (donc 20 ampoules, soit
un paquet). Les premiers jours, on a généralement une petite éruption de
boutons, qui est tout à fait normale. Comme il s’agit d’un processus dépuratif,
il faut que les impuretés sortent pour que la peau soit purgée. Après la cure,
ma peau est toute lisse, propre et équilibrée.
Prix indicatif: 12€
Avec tout ça, vous aurez une superbe peau. Promis.
Sur un blog société-mode-lifestyle, un blog méchamment futile donc, on ne parle pas de politique.
Là je dois faire entorse à la règle.
Le débat orchestré dans l’émission « Mots Croisés » sur France 2 provoque en moi une gentille fureur. Pour rester dans un ton futile, je m’abstiendrai de donner mon avis sur le fond du débat, pour des raisons purement éditoriales.
… Ou du moins, de façon très rapide. Le thème, « La France et les Roms », qui a surtout une teneur médiatique, rapporte à France 2 plus de spectateurs que de crédibilité. OUI. Moi, étudiante crève-la-dalle, j’aimerais bien qu’on organise plutôt un débat autour des aides étudiantes, par exemple. Histoire que je puisse m’acheter mes bottes cavalières et quitter une fois pour toute ces fripes nauséabondes de Paris-centre. (Non mais je plaisante bien sûr). Donc ! Pour ne pas tomber dans le piège médiatique de France 2, j’ai décidé de commenter le débat… niveau look. C’est MA résistance citoyenne.
Je me révolte, que dis-je, je m’insurge ! de la négligence des invités. Gilbert Collard, député d’extrême droite a osé… le double col ! OUI. Et j’en souffre. Ses yeux bleu-saturé, auxquels il a savamment accordé sa chemise, jurent. Dans l’axe yeux-chemise, il y a cette affreuse doublure qui fait coucou. Je n’écoute même plus ce qu’il raconte. Je suis hypnotisée.
Cet épisode traumatisant m’a réveillée. J’ai perçu le plateau autrement. Laurent El-Ghozi, qui me semble pourtant plein de bon sens, a mis son nœud papillon de traviole. Depuis mon canapé, je n’ai qu’une envie : lui redresser. Soudain, Henri Guaino prend la parole. Et mes yeux vont de Charybde en Scylla,… ce costume bleu ton-sur-ton (atténué par un léger nuancier clair/foncé). Au cas où nous oublierions de quel parti il vient !
Finalement, ce débat est plutôt utile. Et bien plus original que ces multiples dossiers qui sortent dans la presse papier, dans lesquels nos interlocuteurs maîtrisent un peu mieux leur communication.
Je ferme ainsi ce chapitre politique. DÉ-FI-NI-TI-VE-MENT.
Mon chéri vient de poser une équation fort intéressante : « Homme demandant au serveur la “Gameboy” pour payer par CB » et « Homme-qui refuse d’offrir une rose à sa compagne à la terrasse du restau, en glissant au vendeur ambulant “C’est déjà fait” » sont de la même race.
Première réaction : j’acquiesce (quel génie !).
Deuxième réaction : je m’indigne. Bougre-de-bon-dieu ! Autant de tares dans une seule race ?!
Ces spécimens me laissent bouche-bée. En une phrase, ils anéantissent des milliers d’années de civilisation. J’ai toutefois du mal à comprendre la vraie signification du « C’est déjà fait ». On a le choix entre deux explications :
- Le mytho : « C’est déjà fait… Je lui ai déjà offert une rose ». (Oh le gentil). Personne n’y croit dans le restau. Pas même lui. Mais lui, il se dit qu’au bénéfice du doute… Piège: imaginons qu’il vous ait bien offert une rose. Alors FUYEZ. C’est pire que tous les « C’est déjà fait » ou les « Passez-moi la Gameboy ». Ces putains de roses sont le comble du ringard.
- Le grivois : « C’est déjà fait… Je l’ai déjà
b**séesautée ». OK. Si tension sexuelle il y avait, à partir de cet instant-là, tension sexuelle il n’y a plus. Gros piège : ça peut avoir l’effet inverse. Tant de goujaterie pourrait vous exciter. La grosse arnaque, quoi. Surtout qu’à la fin du repas, il dégainera son « passez-moi la Gameboy ». Comme un couperet. Adieu libido.
Pour avoir déjà vécu ce moment de solitude, je n'ai qu'un conseil à vous donner: fuir!